𝕭𝖊𝖑𝖑𝖆 𝕾𝖜𝖆𝖓
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La vampire fragile
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Isabella Marie Swan est née dans la petite ville pluvieuse de Forks, dans l’État de Washington, mais ne passa que peu de temps dans ce coin humide du nord-ouest. Alors qu’elle n’était encore qu’un bébé, ses parents Charlie et Renée se séparèrent. Renée, incapable de supporter la vie monotone de Forks, partit vivre avec sa fille à Phoenix, en Arizona. Bella grandit donc loin des forêts sombres de son enfance, entourée du soleil brûlant, du béton et d’un quotidien bien plus mouvementé que celui qu’elle aurait connu à Forks. Bella fut une enfant calme, mature pour son âge, souvent plus adulte que les adultes autour d’elle. Elle prit rapidement l’habitude de s’occuper d’elle-même et parfois de sa mère développant un sens de responsabilité rare. Réservée, un peu maladroite, très intérieure, elle préférait toujours les livres et la réflexion aux fêtes et à l’agitation sociale. Malgré sa gentillesse naturelle, Bella se sentait souvent en décalage avec les jeunes de son âge.
Univers surnaturel
Lorsque Renée se remaria et commença à voyager avec son nouveau mari Phil, Bella fit un choix qui changea le cours de sa vie : retourner vivre à Forks avec son père. Elle pensait y trouver un peu de tranquillité, peut-être même une routine rassurante… elle n’imaginait pas un instant qu’elle y découvrirait un monde entier dissimulé sous la surface. Au lycée de Forks, Bella attira malgré elle l’attention. Mais un seul regard la marqua vraiment : celui d’Edward Cullen. Il semblait tellement différent des autres distant, mystérieux, presque irréel. Leur première rencontre fut étrange, chargée d’une tension qu’elle ne pouvait expliquer. Et pourtant, Bella sentait que cet inconnu avait quelque chose de particulier, quelque chose qu’elle devait comprendre.
JEUX EN COURS : 1/2
Nom complet : Isabella Marie Swan
Date de naissance : 13 septembre 1987
Lieu de naissance : Forks, Washington
Origine : Humaine (puis vampire dans la continuité officielle)
Parents : Charlie Swan (shérif de Forks) & Renée Dwyer
Particularité : Immunité mentale, volonté exceptionnelle
La vampire protectrice
Lorsque la vérité éclata — Edward était un vampire — Bella n’éprouva aucune terreur. Sa nature curieuse, son instinct profondément empathique et son attachement déjà puissant effacèrent toute peur. Son monde bascula, mais elle ne chercha pas à fuir. Au contraire, elle s’enfonça davantage dans ce monde de ténèbres et d’éternité. Sa relation avec Edward fut un mélange de passion, de danger et de confiance absolue. Bella affronta des ennemis, des pertes, les dangers du surnaturel… tout cela pour rester auprès de celui qu’elle aimait. Son courage, souvent sous-estimé, révéla une force insoupçonnée.
Un univers sombre
Lorsque la vérité éclata — Edward était un vampire — Bella n’éprouva aucune terreur. Sa nature curieuse, son instinct profondément empathique et son attachement déjà puissant effacèrent toute peur. Son monde bascula, mais elle ne chercha pas à fuir. Au contraire, elle s’enfonça davantage dans ce monde de ténèbres et d’éternité. Sa relation avec Edward fut un mélange de passion, de danger et de confiance absolue. Bella affronta des ennemis, des pertes, les dangers du surnaturel… tout cela pour rester auprès de celui qu’elle aimait. Son courage, souvent sous-estimé, révéla une force insoupçonnée.
S A R E L A T I O N A M O U R E U S E
𝕾𝖔𝖓 𝖕𝖊𝖙𝖎𝖙 𝖆𝖒𝖎
Lorsque Bella quitta Forks après les tourments émotionnels qu’elle y avait vécus, elle cherchait avant tout à respirer. Elle avait besoin de distance, de silence, de retrouver un sens à sa vie au-delà des ombres du surnaturel qui avaient marqué son cœur. C’est ainsi qu’elle arriva à Mystic Falls, une ville qu’elle croyait ordinaire, sans savoir qu’elle allait y croiser un nouveau destin. ls se rapprochèrent parce qu’ils parlaient la même langue : celle des âmes qui ont trop aimé, trop perdu, mais qui refusent d’abandonner. Peu à peu, Stefan devint la stabilité que Bella n’avait jamais eue. Il ne la poussait pas, ne la bousculait pas, ne cherchait pas à la posséder. Il l’écoutait. Il voyait sa force avant ses failles. Et Bella, elle, fut la première à convaincre Stefan qu’il pouvait être aimé sans avoir peur de blesser, qu’il méritait d’être heureux malgré son passé.
Quand la vie vous a fait don d’un rêve qui a dépassé toutes vos espérances, il serait déraisonnable de pleurer sur la fin…
Il est possible de fuir celui que l’on craint, de lutter contre celui que l’on hait. Lorsqu’on aime son assassin, on n’a plus le choix. Car comment fuir et lutter si cela signifie blesser l’aimé ? Si la vie est la seule chose à lui donner, comment la lui refuser ? Quand on l’aime réellement ?
